TAÏGA

En mars 2019, j’ai traversé le lac Baïkal puis la Sibérie jusqu’à Vladivostok par le Transsibérien. J’avais emporté «La Prose du Transsibérien» de Blaise Cendrars et superposé un calque plissé de deux mètres sur le texte.

Je ne savais pas qu’une forêt allait se donner à voir sur des milliers de kilomètres : une forêt de mélèzes noirs et de bouleaux blancs sur terre enneigée, blanche et parfois brûlée, noire.

En dessinant la TAÏGA, j’ai eu instantanément l’impression de l’avoir déjà rencontrée… Le choc fut puissant, instinctif, émouvant.

«La force et le charme de la taïga ne tiennent ni aux arbres géants ni au silence sépulcral, mais au fait que seuls les oiseaux migrateurs savent où elle s’achève »

Anton Tchekhov / L’Amour est une région bien intéressante 

Format : 50X1800 - Technique : Encre et acrylique sur rouleau de plisseur

 

 

TAÏGA

TAÏGA

Premier dessin de la Taïga à bord du Transsibérien Calque de 2 mètres intercalé sur le texte de Blaise Cendrars "La prose du Transsibérien"
TAÏGA 1

TAÏGA 1

Format : 40X60
Technique : Estampe pigmentaire (signé, N° 1 à 15)
TAÏGA 2

TAÏGA 2

Format : 40X60
Technique : Estampe pigmentaire (signé, N° 1 à 15)
TAÏGA 3

TAÏGA 3

Format : 60X40
Technique : Estampe pigmentaire (signé, N° 1 à 15)